Et avec ca, il devient urgent de rouvrir, voire d'agrandir, l'hopital de Lipótváros. Pour ceux qui ne le sauraient pas, il s'agit d'un asile psychiatrique malencontreusement fermé en 2009.
Pendant que l'on projette la construction de ces beaux stades, une ligne de métro (la 3) est déclarée dangereuse (wagons vieux de 35 an qui crament régulirement, ballast instable), les trains se trainent a vitesse d'escargot (voies a refaire, cf. le Balaton rive Nord), des hopitaux ferment et des écoles ne se chauffaient plus cet hiver (et encore moins l"hiver prochain). Et une bonne partie de la population se trouve au bord de la ruine...(sinon déja au fond du puits...)
Bref, vive le foot ! Hajrá Viktor !
(Et a nouveau bravo a Corentin pour cet excellent papier.)